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samedi 16 novembre 2019

Le cours des cryptos

€ 228 Milliards

ICO rennovateur Stellar


Stellar est une plateforme décentralisée destinée à l’échange de tout type de devises aussi bien numérique que fiduciaire au niveau international.
Le Lumen connu aussi sous le sigle XLM est la monnaie numerique s’est donc divisée en deux parties. Une partie du réseau à implémentée la mise à jour et l’autre partie est devenue Stellar Lumens. Stellar a été créée par Jed McCaled Co-fondateur de Ripple et Joyce Kim. Suite à cela, une version du protocole avec un nouvel algorithme consensuel et de nouveaux codes a été mise en place par la fondation Stellar et en 2015, une nouvelle amélioration a été apportée au protocole. Au cours de la même année, Stellar a publié une feuille de route dans laquelle est mentionnée comme objectif à atteindre en 2018 l’utilisation du Lightning Network. Le Lightninig Network permet au réseau de crypto-monnaies d’augmenter de façon significative la vitesse et l’efficacité des transactions en créant un réseau en dehors de la blockchain qui feront offices de canaux de paiement.
Suivant les estimations de la feuille route, Stellar a annoncé au premier trimestre de cette année la mise en place du Lightning Network. Jeremy Rubin un des développeurs du Bitcoin core  contribuera à la mise en place de cette technologie dont une version Beta sera disponible le 1er octobre de cette année et une version fonctionnelle le 1er décembre prochain sur le « mainnet » de Stellar.
Caractéristiques
Pour ceux qui connaissent déjà la blockchain Ripple, celle Stellar leur sera aussi familière car comme nous l’avons déjà évoqué plus haut, Stellar est née d’un « fork » de la blockchain Ripple. Pour ceux qui ne connaissent pas encore cette blockchain, nous vous invitons à lire l’article sur la plateforme Ripple que nous avons déjà présenté ici pour plus d’informations.
Pour faire simple, la blockchain Stellar est une plateforme qui permet d’échanger des devises numériques et fiduciaires sans un organisme tiers et moyennant de très petits frais de transaction que l’on paye en Lumens, la crypto-monnaie utilisée sur la blockchain.
Les paiements sont validés en 2 à 5 secondes et le réseau est capable de supporter jusqu’à 1000 opérations toutes les secondes.
Le Lumen a été créé suite à la naissance de la blockchain Stellar. Elle a deux fonctions principales dans la blockchain. La première est relative à la sécurité et à l’intégrité de la blockchain. Pour faire des transactions sur la blockchain, il faut payer des frais d’une valeur minimale de 0.00001 Lumen. Cela permet de contrôler facilement le blockchain au cas où un utilisateur essaye de faire des transactions trop élevées ou qu’il cherche à s’approprier de grands espaces seulement en vérifiant la valeur des Lumens utilisés.
La seconde fonction du Lumen est en rapport avec la fonction d’échange de devises de la blockchain. Comme évoqué plus haut il est possible de faire des transactions entre différentes sortes de devises sur a blockchain Stellar. Le Lumen sert alors de pont entre les différentes devises de telle façon qu’il n’est pas nécessaire de faire appel à un organisme de crédit. Par exemple si une personne fourni une prestation pour une autre personne, le prestataire veut être payé en Dollar et le client veut payer en Euro. Une fois dans la blockchain, les Euros du client seront changés en Lumen puis les Lumens seront de nouveau changés en Dollar pour que le prestataire puisse recevoir son salaire dans la devise qu’il souhaite. Le principe est le même pour les devises en monnaie fiduciaire et les crypto-monnaies. Cependant pour es transactions fonctionnent il faut qu’il y ait une bonne liquidité de marché entre les devises recherchées et le Lumens. Afin de gérer la liquidité, Stellar a mis en pce un système inflationniste. L’inflation de la monnaie est maitrisée grâce à un système de vote. Les personnes qui possèdent des Lumens votent sur les nœuds du réseau pour valider une transaction ; Cela permet de définir de déterminer la part redistribuée de l’inflation aux nœuds acteurs.
Le lumen ne peut pas être miné. L’intégralité de la crypto-monnaie a été émise au moment de la création de la blockchain. 100 milliards de jetons sur les 103 milliards existant sont en circulation.
Les jetons sont distribués par la fondation Stellar.org comme suit :
  • 50 % aux personnes intéressées, par une simple demande ;
  • 25 % à des organisations à but non lucratif pour aider des personnes qui ont en besoin et qui ne peuvent en bénéficier autrement
  • 20 % aux possesseurs de Bitcoin et de Ripple
  • 5 % géré par la fondation Stellar.org pour le bon fonctionnement de la blockchain
Avenir de Stellar
Au début de cette année, Stellar a commencé à implémenté le système Lightning Network. Cette technologie apporte beaucoup d’avantage au réseau Stellar et la nouvelle de sa mise en pace a fait augmenter sa valeur sur les plateformes d’échanges.
Le Lightning Network est un atout en termes de scalabilité pour le réseau Stellar. En ce moment le réseau est capable de supporter jusqu’à 1000 opérations toutes les secondes et peut valider un paiement en moins de 5 secondes, ce qui est déjà pas mal en terme de scalabilité. Avec cette nouvelle technologie, le réseau Stellar, sera encore plus performant car il sera possible de traiter toutes les transactions que l’on fait sur le réseau comme les paiements et la gestion du compte y compris la création, la suppression et la modification de permission du compte sur des canaux de paiement en off-chain, ce qui rendra les transactions et la validation des comptes encore plus rapide en libérant de la place dans le réseau.
A terme, il sera aussi possible de procéder à des échanges entre deux actifs venant de deux blockchains différentes, on appelle cela un atomic swap, ce qui est un réel avancement en termes d’interopérabilité.
La confidentialité est aussi améliorée car il est désormais possible d’effectuer des transactions en dehors du registre public.
Mises a part les évolutions que vont apporter la mise en place du Lightning Network, le Stellar est une crypto-monnaie intéressante dans la mesure où sa valeur est en augmentation  la marketcap des crypto-monnaies en ce moment et la tendance semble se maintenir et d’autre part, le réseau est très pratique vue sa performance et le coût des transactions très bas.

L'univers Ethereum


Pour continuer dans la découverte des crypto-monnaies nous allons parler aujourd’hui de l’Ethereum en tant que Blockchain ainsi que la token et la crypto-monnaie dont elle est issue, l’Ether. Nous allons donc parler beaucoup du réseau Ethereum car il est impossible de dissocier l’ether du réseau comme c’est ce qui fait fonctionner le réseau et qu’à l’origine l’ether a été créé uniquement pour ça

C’est quoi exactement l’Ethereum

Initialement, Ethereum est un système que l’on pourrait comparer à un super ordinateur. Donc, cet ordinateur est composé par un réseau de plusieurs ordinateurs appartenant à des particuliers dans le monde entier qui travaillent ensemble. Cet ordinateur est sécurisé, il peut-être utilisé et programmé par tous et tout ce qui est fait sur cet ordinateur est visible par tous les utilisateurs.
Ce grand ordinateur permet de faire fonctionner diverses applications décentralisées appelées dApp. Chaque ordinateur qui forme l’Ethereum participe à la réalisation de cette application, mais nous verrons tout cela plus longuement dans la partie technique.
L’Ethereum est ainsi la blockchain qui relie tous les ordinateurs qui font partie du réseau. Chaque ordinateur qui participe à la réalisation d’une application reçoit un jeton numérique en récompense. Ce jeton étant appelé Ether, l’Ethereum est donc aussi l’origine de ce token.

Les débuts de l’Ethereum

L’histoire de l’Ethereum en tant que blockchain a beaucoup à voir avec celle du Bitcoin et de sa blockchain.
Le créateur de l’Ethereum est un jeune Russe vivant au Canada nommé Vitalik Buterin. C’est un génie de l’informatique et en 2011 il découvre et se passionne pour le Bitcoin et sa blockchain. Agé alors de 17 ans, il décide de d’étudier de près cette blockchain et fonde alors le site internet Bitcoin Magazine.
Deux ans après, alors qu’il a 19 ans et qu’il a bien baigné dans le monde du Bitcoin, il découvre très vite les limites de la blockchain du Bitcoin qui ne sert à son avis qu’à faire des transferts d’argent entre deux personnes. Il travaille alors sur une autre blockchain beaucoup plus polyvalente pour traiter une infinité d’applications décentralisées. Pour faire connaitre son projet, il publie alors en 2013 son livre blanc intitulé «A next generation of smart contracts and a decentralized application platform » ou « Une prochaine génération de contrats intelligents et une plateforme d’application décentralisée »
C’était un jeune homme très doué, mais il n’avait pas les moyens de financer son projet. Il crée alors l’Ether, un jeton numérique et organise une ICO en les mettant en vente sur internet pour financer son projet. Ce fût un réel succès, et le mot est faible. En 12 heures, la vente récolte 3700 bitcoins équivalent à environ 2.3 millions de dollars de l’époque et au final, l’opération a réussie à lever 31591 bitcoins d’une valeur de 18 millions de dollars de l’époque, représentant 60 millions d’Ethers vendus.
Suite à cette ICO, le premier block appelé «block genesis »  lancé le 30 juillet 2015 et  l’Ethereum Foundation, une fondation à but non lucrative a aussi été créée pour promouvoir le développement de l’ether.
Une nouvelle génération est mise en place en mars 2016, elle est appelée Homestead. Le logiciel sera de nouveau renouvelé en cours 2018 et portera le nom de Serenity.
Durant son parcours, l’Ethereum et sa monnaie l’ether ont aussi connu certains problèmes. En 2016, afin de financer les projets sur le réseau, une levée de fonds a été organisée par une organisation autonome créée spécialement pour cette tâche. 12 millions d’éther représentant une valeur totale de plus de 150 millions d’Euro ont été réunis au cours de cette levée de fonds. Cependant une faille sur le code de theDAO a pu être exploitée par des pirates qui ont alors réussis à détourner, le 17juin 2016, pratiquement 1/3 des fonds réunis. Les pirates ont placé les fonds détournés dans un clone du theDAO où selon les règles de ce dernier, ils sont gelés à titre conservatoire pendant un mois.
Durant ce mois, la communauté Ethereum et ses membres fondateurs se sont concertés sur l’attitude à adopter : récupérer ou non les Ether volés afin de rembourser les investisseurs quitte à liquider theDAO. La décision finale a été de liquider le fond d’investissement, de reprogrammer la chaine des blocs afin de récupérer les fonds volés et rembourser les investisseurs
Cependant environ 15% de la puissance de calcul des mineurs ont refusé cette mesure, ce qui a divisé l’Ethereum en deux blocs de chaine distincte. Le bloc officiel qui a implémenter es mesures et qui est soutenu par les développeurs, reconnu par le sigle ETH, et le bloc dissident contenant la monnaie détournée par les pirates, dit ether classique ETC avec une puissance de calcul faible qui le rend plus vulnérable aux malveillances
Une fois les mesures appliquées, toutes les adresses possédant de l’ether s’est vue dupliquée dans la nouvelle chaine de bloc avec des encours en EHT mais aussi dans la blockchain ETC pour le même montant mais chaque monnaie ne peut-être utilisée que sur sa propre blockchain. Cela arrive quand une blockchain se divise en deux. Les utilisateurs sont vulnérables et peuvent subir des attaques par rejeu. Cela veut dire que des pirates peuvent intercepter une transaction sur la plus grande des deux chaines pour la dupliquer sur la seconde étant donné que la clé privée de l’utilisateur et la signature de la transaction initiale est valide sur les deux blockchains.

Les caractéristiques et fonctionnement

La blockchain et le smart-contract

La première version du logiciel est créée par une société suisse, Ethereum Switzerland GmbH (EthSuisse). La blockchain de l’Ethereum, quoique inspirée de la blockchain du Bitcoin, offre beaucoup plus de possibilité que le simple transfert d’argent.
L’Ethereum est donc comme on l’a dit plus haut, un réseau composé de milliers d’ordinateurs qui travaillent tous ensemble et comme avec la Blockchain du Bitcoin, la blockchain Ethereum est une sorte de grand registre dans lequel chaque ordinateur participant sur le réseau écrit une ligne afin de former une base de données commune.
Une fois entrées dans la blockchain, les données sont enregistrées et sauvegardées pour toujours et cela depuis la création de la blockchain. Il est impossible de modifier cet historique. Tous les contrats qui sont réalisées sur la blockchain Ethereum sont visibles par tous et vérifiables avec un peu de connaissance
En ce qui concerne la sécurité, chaque ordinateur possède une copie de la base de données ce qui la rend très difficile à compromettre. Il faudrait pouvoir attaquer 51% des ordinateurs du réseau et cela en même temps pour pouvoir pirater la blockchain. La blockchain est aussi protégée par un protocole chiffré très puissant qui minimise sa vulnérabilité aux attaques.
Le réseau d’ordinateur Ethereum est toujours allumé et fonctionne 24h/ 24 en car pour l’éteindre, il faut virtuellement éteindre tous les ordinateurs en réseau simultanément.
Le principe de fonctionnement et la technologie utilisée par l’Ethereum est assez similaire à ceux utilisés par le Bitcoin dans les grandes lignes : une base de donnée unique à tous et chaque personne qui participe y insère des données.
Ce qui diffère l’Ethereum des autres c’est la façon dont on utilise la blockchain. Cette blockchain a la capacité d’être programmable grâce à un langage dédié qui s'appelle Solidity. Ce langage de programmation est dit « complet » et il permet d’executer toutes les fonctions utiles au développement d’une application. La blockchain s’utilise en y programmant des actions à exécuter par l’ensemble des participants à la blockchain. Ces actions appelées smart-contracts sont des engagements, simples ou complexes dont l’exécution se fait automatiquement sur la blockchain une fois que toutes les conditions et les limitations programmées initialement sont réunies.
Prenons l’exemple concret et très simple de deux personnes P1 et P2. P1 effectue un travail pour P2 et P2 veut rémunérer P1 une fois que son travaille est accompli. Un smart-contract est ainsi programmée sur la blockchain et P2 met à disponibilité dans la blockchain la somme exacte représentant la rémunération de P1. Une fois qu’il a été vérifié que le travail a été bien accompli, P2 reçoit le salaire prévu, autrement l’argent mis à disponibilité par P1 lui est restitué.
Une fois que les conditions pour l’exécution du contrat sont validées, les contrats s’exécutent automatiquement en envoyant une commande à la blockchain et grâce à la puissance de calcul de tous les ordinateurs que les particuliers mettent à disposition pour former le réseau. Deux cas peuvent se présenter  lors de l’exécution du contrat :
Si les conditions spécifiées lors de la programmation du smart-contract dépendent d’un repère de temps (ex payer le salaire le 30 du mois) ou à d’autres actions dans la blockchain, il est facile de vérifier que les conditions sont remplies dans la blockchain avant d’exécuter le contrat
SI les conditions pour que le contrat s’exécute nécessite une action en dehors de la blockchain (ex : livraison d’une marchandise) un tiers de confiance appelé Oracle est désigné afin d’entrer dans la blockchain au moment venu l’information de façon fiable, confirmant que le contrat peut-être exécuté. L’oracle peut être un tiers connu par les deux parties, une base de données fiable à laquelle on peut se référer ou encore un service d’Oracle décentralisé
L’exemple cité ci-dessus n’est bien sûr qu’un exemple très simplifié de smart-contract et de son fonctionnement. Il existe de nos jours des contrats beaucoup plus complexes comme des contrats-cadre, des contrats de distribution, des contrats de royalties, des contrats de société, des pactes d’actionnaire, des gages….
Il est aussi possible d’y programmer bien plus que de simples engagements contractuels car comme n l’a dit plus haut, l’Ethereum permet d’exécuter des applications décentralisées de toutes sortes :
Augur est par exemple un logiciel sur lequel les gens peuvent «miser » sur la probabilité qu’un évènement puisse se réaliser. Les personnes qui ont deviné juste reçoivent une rémunération, l’objectif à terme serait de pouvoir prédire l’avenir en utilisant l’intelligence collective
Slock.it vous permettra de contrôler les appareils intelligents par des smart-contracts programmés dans la blockchain
Maker est un projet de banque décentralisé
Sur le site officiel de la Foundation Ethereum, on peut aussi trouver des applications qui fonctionnent avec le langage Solidity. Il y a une application qui permet de créer de l’actif virtuel pour un projet, une autre encore permet la mise en place d’une plateforme de financement décentralisé pour un projet ou encore une application permettant la création d’une organisation autonome décentralisée (DAO)

La crypto-monnaie et la token Ether

La spécificité de cette crypto-monnaie c’est qu’elle a été créée un peu malgré elle et qu’elle a été conçue par rapport à un blockchain et non pas le contraire comme dans le cas du Bitcoin par exemple où la blockchain est conçue par rapport à une monnaie virtuelle le Bitcoin. Mais commençons par le commencement.
Nous avons déjà vu plus haut que l’Ether en tant que token a été créé pour financer la réalisation du projet Ethereum. A la mise en place de la blockchain, les 60 millions d’Ether pré vendus lors de la levée de fond sont distribués, 12 autres millions sont émis pour les développeurs. A partir de là, il n’y a plus d’émission d’Ether, pour en avoir il faut miner.
L’Ether n’a pas été conçu pour être une crypto-monnaie en elle-même mais plutôt en complément du Bitcoin, mais comme il peut-être utilisé sur les plateformes d’échanges il fait l’objet de spéculations et d’investissement, ce qui a fait monter énormément son cours.
La principale utilité de l’Ether se trouve à l’intérieur de la blockchain elle-même. L’Ether est moyen d’échange pour les contrats dans la blockchain. C’est une sorte de carburant qui permet de faire fonctionner le réseau décentralisé lors d’un smart-contrat. Cela se traduit par des frais de transactions appelés gas. A chaque action correspond une quantité de gas, les variables étant la puissance de calcul requise et la durée de fonctionnement.
Chaque ordinateur qui participe dans la blockchain reçoit une récompense lorsqu’il réalise un travail. Cette récompense est délivrée en Ether. Ensuite, les possesseurs d’Ether peuvent les vendre sur les plateformes d’échanges. L’Ether permet de donner une valeur monétaire au fonctionnement du réseau. Les développeurs utilisent les Ether pour développer et faire fonctionner leurs applications sur le réseau Ethereum donc ils peuvent vouloir acheter des Ethers.
La blockchain Ethereum génère un nouveau bloc toutes les 15 secondes ce qui la rend très fluide. La rémunération des mineurs reste toujours constante quand par exemple pour le Bitcoin la rémunération connait une diminution programmée au fil du temps.
Tout comme avec le Bitcoin, au début, le minage de l’ether se sert aussi du consensus proof-of-work, mais il sera bientôt le consensus proof-of-stake sera mis en place pour économiser de l’énergie.
L’ether a sa propre unité de mesure partant de 1 trilionième (10??) au million (10?). L’émission de l’ether n’est pas limitée à un nombre précis.

L’évolution de l’ether

Si au début, l’ether n’a été créé que pour faire fonctionner la blockchain Ethereum, il a fait du chemin depuis. Avec son environnement plus ouvert et ses coûts de transactions moins élevés que ceux du Bitcoin par exemple Il a réussi à gagner la confiance des investisseurs et des utilisateurs qui investissent et spéculent massivement sur cette monnaie avec pour conséquence une augmentation rapide de son cours. Le cours de l’Ethereum est de 461 € à ce jour mais vous pouvez suivre le cours de toutes les crypto-monnaies en directe sur notre site

Connaitre le Bitcoin la monnaie future


Le Bitcoin est une monnaie virtuelle appelée aussi crypto-monnaie. Elle est émise jusqu’à 21 millions d’unités dont chaque unité est divisible jusqu’à la huitième décimale. C’est un système de paiement de pair à pair qui fonctionne de manière décentralisé sur Internet. Il est accepté par un nombre croissant de commerçant. Les frais de transactions sont inférieurs à ceux que l’on paie quand on utilise une carte de crédit, ils ne dépendent pas du montant de la transaction et ils sont à la charge de l’acheteur.
Historique
Le Bitcoin n’est pas une nouvelle invention. Le concept de monnaie virtuelle a déjà été imaginé auparavant. En 1999, un inventeur crée la b-monnaie, le premier concept de crypto-monnaie, en 2005 le concept est amélioré avec le Bitgold. Ces premières versions des crypto-monnaies n’avaient pas pu être développées à cause de divers problèmes qui font qu’ils n’ont pas gagné la confiance du public. Ses problèmes résident entre autre au niveau de la sécurité et de l’authenticité ou d’un système trop complexe à utiliser. Le Bitcoin a été conçu par une personne qui se fait appeler Satoshi Nakamoto et qui a réussi à résoudre ces problèmes de confiance à l'aide de la cryptographie.
En réalité, personne ne sait vraiment qui est Satoshi Nakamoto, et au fil du temps, beaucoup de personnes se sont présentées ou ont été présentées comme étant l’inventeur de Bitcoin sans que leur identité ne soit réellement prouvée. L’histoire du Bitcoin commence en 2009, quand son concepteur, après deux ans de travail, publie sur le site P2P foundation les tenants de son travail. Le 3 janvier 2009, le bloc Genesis, le premier bloc du Bitcoin est créé. Dès le mois de février 2009, il publie la première version de son logiciel pour le Bitcoin toujours sur le site de P2P Foundation et avec d’autres développeurs, en s’appuyant sur son propre ordinateur, il commence à faire fonctionner le réseau et crée ainsi les premiers Bitcoins (avec le minage que nous aborderons plus loin).
Il continuera à améliorer le logiciel jusqu’en 2010. A partir de là, Satoshi Nakamoto se fait de plus en plus discret et poste un dernier message désignant Gavin Andersen pour lui succéder. Satoshi Nakamoto lui cède alors l’accès au SourceForge Bitcoin avec une copie de la clef d'alerte cryptographique privée unique qui permet de minimiser les conséquences en cas d’attaque sur le système en réalisant des pull-back. Ensuite, il coupe totalement le contact avec ses collaborateurs et le milieu de la cryptographie et il n’est plus réapparu jusqu’à aujourd’hui.
En 2018 personne n'a encore prouvé être le véritable Satoshi Nakamoto, des rumeurs sur la publication d'un livre sont apparus sur la toile sans que l'auteur ne prouve pour autant son identité.
Principe de fonctionnement du Bitcoin
Le principe de la création du Bitcoin s’appuie sur une critique du système monétaire actuel. Pour faire simple, cette critique affirme que le système monétaire actuel connait des cycles économiques dangereux à cause du développement du crédit bancaire qui incite à s'endetter pour acheter plutôt que d'acheter en fonction de nos moyens. Cela est valable pour les particuliers qui achètent à crédit mais aussi pour les états qui s'endettent pour poursuivre leurs développement
Les taux d’intérêts sur lesquels les entrepreneurs se fient sont faussés, et ainsi les projets dans lesquels ils se lancent sont trop ambitieux et ne correspondent pas aux attentes des consommateurs, ce déséquilibre va conduire vers une récession. De nombreux économistes prônent l'abandon du système bancaire actuel sous forme de dette au profit de la réserve fondé sur l'étalon-or, difficile à manipuler par les autorités.
En créant le Bitcoin, Natoshi Nakamoto a appliqué plusieurs principes fondateurs :
  • Une monnaie anti-inflationniste : Le Bitcoin est limité à 21 millions d'unités et une fois ce seuil atteint, aucune nouvelle pièce ne sera créée.
  • Une monnaie décentralisée qui n'appartient à aucun Gouvernement.
  • Un système de vérification décentralisé dans lequel les vérificateurs sont rémunéré pour vérifier les transactions.
Caractéristiques
Le Bitcoin est une monnaie virtuelle divisible jusqu’à la huitième décimale. Un satoshi équivaut à 0,00000001 BTC. Elle fonctionne sur la technologie du registre distribué Blockchain que l'on pourrait qualifier de base de données mondiale, ouverte et décentralisée. Cette base de données est synchronisée toutes les 10 minutes et l'intégralité de ce dernier est ensuite téléchargée les millions d'ordinateurs au travers le monde pour vérifier le nombre de Bitcoin stockés sur les différentes adresses numériques.
Il est donc très facile de savoir quel est le nombre de Bitcoins stockés sur un portefeuille spécifique mais en revanche on ne sait pas à qui appartient ce fameux portefeuille. Si l'on compare à un compte bancaire classique cela peut paraître étrange mais il s'agit en fait d'un moyen efficace de stocker, vérifier et transférer des crypto-actifs. Bien entendu seul le propriétaire du portefeuille peut effectuer des actions comme l’envoi de Bitcoin vers un autre, ce propriétaire étant identifié comme tel grâce à sa clé privé qui prouve qu'il est bien le propriétaire unique des fonds.
Lorsque l'on veut ensuite envoyer ou recevoir des fonds sur le réseau Bitcoin, il y a les mineurs de crypto-monnaies qui vont rentrer en jeux. Ce réseau fonctionnant sans organisme vérificateur centralisé, ces vérifications sont en  fait réalisées par des centaines d'ordinateurs au travers le monde qui vont rentrer en compétition pour vérifier les transactions et ainsi être rémunérés pour leur travail.
Il vont s'assurer que :
  • C'est bien le propriétaire du portefeuille qui effectue l'envoie.
  • Que le portefeuille dispose bien des fonds qu'il veut envoyer.
  • Que le portefeuille destinataire existe bien.

La Blockchain

 est une sorte de grand registre informatique. La base, un bloc de transaction chiffrée, est appelé un bloc et les blocs s’ajoutent les uns aux autres pour former une chaine d’où le nom « blockchain » suivant un protocole qui rémunère les mineurs qui ont traité des transactions. Ce sont ces transactions qui sont répertoriées puis enregistrées dans la blockchain. Pour cela les agents utilisent leur puissance de calcul afin d’inscrire les transactions dans la blockchain de manière sécurisée.

Nous avons parlé plus haut de problèmes de sécurité, de fiabilité et de confiance liées aux autre crypto-monnaies créées avant le Bitcoin. La blockchain conçue pour cette crypto-monnaie a réussi à résoudre ces problèmes et en ce jour c’est la technologie la plus fiable et la plus aboutie jamais créée. Les transactions sont enregistrées par un horodatage dans un registre distribué.
Ce registre est infalsifiable, il n’appartient à personne, tout le monde peut le voir et il ne peut-être modifié. Un des grands problèmes rencontrés avec les crypto-monnaies était le problème de la crainte de la double dépense appelée dans le milieu le problème des généraux byzantins.
Explications : Lorsqu’une personne envoi un Bitcoin à une autre personne, grâce au consensus proof-of –work (preuve de travail des mineurs) il ne peut plus envoyer ce Bitcoin en parallèle à une autre personne car une fois transmis à une autre personne, la première personne ne possède plus ce Bitcoin.

Fiabilité du réseau : Les généraux byzantins

Le problème des généraux byzantins est une métaphore par laquelle on peut expliquer de façon plus simplifiée la façon dont la blockchain lutte contre les fraudes et les malveillances : Lors de la bataille, les généraux byzantins assiègent une ville ennemie. Pour établir un plan de bataille commun, ils ne peuvent communiquer qu'en passant par des messagers qui eux sont fiables. Cependant, il se peut que certains généraux puissent être des traîtres qui vont donner de fausses informations aux généraux loyaux pour faire échouer le plan de bataille.
Ainsi, il faut trouver un moyen de communiquer de manière à ce que malgré la présence d’éventuels traîtres, les généraux puissent tout de même se mettre d’accord sur un plan de bataille. Il s’avère que les messages oraux partagés d'un individus à un autre sont efficaces seulement si plus des deux tiers des généraux sont loyaux, par contre, des messages écrits, infalsifiables et partagés à l'ensemble des généraux (du réseau) augmente la fiabilité du système d'informations et rendent le système fiable à 100% si plus de 51% du réseau est fiable.
Cette métaphore du problème des généraux Byzantins est ancienne et date même d'avant l'invention d'Internet ! Elle a été expliquée pour la première fois en 1982 : "The Byzantine Generals Problem". A l'époque il s'agit de faire fonctionner plusieurs systèmes entre-eux tout en s'assurant que les informations pourraient continuer d'être correctement traitées en cas de défaillance de l'un de ces systèmes. La blockchain utilise donc ce principe de vérification des données pour offrir un système fiable et parfaitement adapté aux problématiques monétaires.
Ainsi, la blockchain est conçue de manière à être fiable dans le cas où certains composants essaieraient de contourner la vérification des doubles dépenses par de fausses informations ou des données malveillantes. Tout comme les généraux ont donc utilisé des messages écrits, partagés à tous et infalsifiables, la blockchain s’appuie sur un système cryptographique qui se base sur un système décentralisé de preuves. La résolution des preuves se fait grâce aux puissances de calcul informatique des mineurs.

Vérification des transactions : Le Bitcoin Mining

Lors d'une transaction Bitcoin entre 2 personnes il n'y a pas d'organisme centralisé qui valide que la transaction est possible (que la personne qui envoi des BTC possède bien la somme sur son compte). Dans ce réseau décentralisé ce sont des logiciels/machines présent sur toute la planète qui vont vérifier la possibilité des transactions. Ces machines ou logiciels vont recevoir la nouvelle transaction émise par le wallet de l’émetteur et l'analyser pour la vérifier. Ils vont en réalité réaliser un grand nombre de calcul avec la méthode "brute force" pour tenter de trouver la solution à un problème de cryptographie asymétrique (dit RSA). La méthode brute force consiste à tester des combinaisons au hasard pour finalement tomber sur la bonne solution qui reliera la clé privée à la clé publique.
La personne ou la machine qui trouvera en premier la solution et qui validera un bloc de transaction sera récompensé par la création de nouveaux Bitcoins qu'elle recevra sur son portefeuille. Il faut donc tout de même avoir une grande puissance de calcul (le Hashrate) pour être en mesure d'être rémunéré pour son travail ! En anglais on appelle cela "winner take all" que l'on peut traduire en Français par "premier arrivé premier servi". Il est tout de même possible pour un particulier de faire fonctionner un logiciel de mining sur son ordinateur mais il est plus intéressant de se regrouper en pool de mining afin de s'entraider afin de résoudre les solutions plus rapidement et donc de monter en rentabilité.
La plupart du temps il est intéressant de faire fonctionner des logiciels de mining sur des machines qui sont conçues uniquement pour cela afin de réduire sa consommation d'électricité en utilisant que les composants essentiels au minage du Bitcoin car par exemple : l'écran et le disque dur consomment de l'énergie pour rien).
En 2010, après le lancement du Bitcoin, Satoshi Nakamoto a mis en place une limite de 1Mo pour chaque bloc nouvellement créé toutes les dix minutes sur sa blockchain pour empêcher les attaques malveillantes jusqu’à ce qu’on puisse mettre en place une augmentation plus efficace de la taille des blocs suivant une limite et un taux prédéterminé en fonction de l’émission de nouveaux Bitcoin. Cependant cette solution a rapidement montrée ses limites car elle était destinée à une Blockchain dont la limite des transactions serait de 7 par seconde et à l’époque le nombre de transaction n’était que de 2.3 par seconde, ce qui laissait de la marge. D’autre part, il était prévu que le système intégrerait des frais de transaction dans le temps de manière à rendre les attaques plus onéreux et ainsi moins efficaces.
Victime de son succès, le système Bitcoin atteint la saturation en 2016 à cause de la hausse constante des transactions. A cette époque le seul moyen d’intégrer plus rapidement une transaction dans la Blockchain était de payer des frais de transactions plus élevées qui pouvaient atteindre jusqu’à 5$ fin 2016, ce qui a rendu le service moins compétitif en termes de rapidité et de coût par rapport à des services déjà existants comme Western Union ou PayPal.Beaucoup de solutions ont été proposées face au problème.
Certains mineurs ont proposés d’augmenter la taille des blocs, cependant, les développeurs penchaient plutôt pour une solution consistant non pas à augmenter la taille des blocs mais plutôt à compartimenter les signatures (segregated witness ou segwit) numériques des transactions de manière à former des « blocs d'extension ». Cette solution n’ayant suscité que peu d’enthousiasme, et l’absence de solutions satisfaisantes, les gens, dont une grande partie de mineurs, ont voté massivement en faveur du mouvement Bitcoin Unlimited.
C’est lors d’un consensus en 2017 qu’un compromis a été trouvé et il est appelé de segwitx2. La proposition segwit des développeurs a été combinée à une augmentation de la taille des blocs à 2Mo. Le segwit est mis en ouvre le 1 août 2017 et l’augmentation de la taille des blocs est effective à partir de novembre 2017.Cependant, ce compromis n’a pas satisfait tout le monde, et un de ses groupes a augmenté la taille de ses blocs à 8Mo. Ce groupe s’est donc détaché du Bitcoin hard fork pour créer une nouvelle crypto-monnaie, le bitcoin cash. Depuis d’autres crypto-monnaies alternatives à la crypto-monnaie principale (appelée maintenant Bitcoin Core) ont été créées, Bitcoin XT (août 2015), Bitcoin Unlimited (janvier 2016), Bitcoin Classic (février 2016 et ensuite abandonné en novembre 2017), Bitcoin Cash (août 2017) et Bitcoin Gold (octobre 2017), mais seule la version officielle, le Bitcoin Core est soutenue par les développeurs.
Evolution du cours du Bitcoin
Le parcours de la première monnaie virtuelle n’est pas sans embûche et depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, cette dernière à rencontré bons nombres de problèmes, de mises à jour et d'améliorations qui ont impacté positivement ou négativement son cours.
Le Bitcoin est considéré comme le Roi des crypto-monnaies ou même assimilé à de l'or numérique. Lorsque quelques chose se produit sur le marché des crypto-actif cela impacte en premier lieu le BTC et se répand par la suite aux autres cryptos. Par exemple le BTC a subit de lourdes chutes de son cours à cause du Piratage de certaines plateformes d'échanges, cette perte de liquidité a immédiatement impacté le marché des altcoins...
Rien que cette année, l’interdiction de publicité concernant les crypto-monnaies sur Facebook, Google et Twitter, les projets d’une réglementation plus sévère et de taxation fiscale, le rejet exprimé par certains pays des crypto-monnaies, ont fait chuter brusquement le cours du Bitcoin au dessous de la barre des 8000$.Avec le développement du Bitcoin, il s’est aussi développé à côté plusieurs activités illégales liées à l’utilisation du Bitcoin. Pour citer un exemple, une des raisons qui poussent certains pays à se méfier du Bitcoin et des crypto-monnaies en générale, c’est que c’est un moyen de paiement très utilisé dans le secteur des ventes de produits illicites et de financement d’activités illégales voire terroristes.
Un des exemples les plus connu est le Silk Road, un site dédié uniquement à la vente de produit et services illégaux (vente d’arme, stupéfiant, etc.) et qui utilise seulement le Bitcoin comme moyen de paiement profitant de son caractère anonyme et non relié à un système bancaire. Le site a été saisi puis fermé par le FBI en 2013.Et enfin, avec le développement du Bitcoin, plusieurs arnaques concernant les échanges ont été constatés sur internet avec des publicités trompeuses et mensongères.Evolution du Bitcoin depuis sa création.
A noter : Juillet 2018 Facebook, Google et Twitter autorisent dorénavant les publicités pour les crypto-monnaies mais n'ont pas encore levée l'interdiction sur les publicité pour les ICO.
  • A ses débuts en 2009, le cours du Bitcoin était de 0.000764$.
  • En 2011, le Bitcoin connaît une première envolée et son cours passe de 1$ fin 2010 à 30$ en juin 2011. Selon les analystes l’explication de cette envolée est le fait que MasterCard, Visa et Paypal ont bloqué le système de don de la société WikiLeaks et ainsi, cette dernière a créée un nouveau système de don basé sur le Bitcoin.
  • A la fin de l’année 2011 le Bitcoin redescend sous la barre des 2$.
  • A partir de l’année 2012, le Bitcoin commence à être reconnu et utilisé par plusieurs sociétés. Son cours commence ainsi à augmenter régulièrement et atteint un cours de 266€ avant de chuter brutalement dans la journée du 10 avril 2013 pour redescendre en dessous de 50 $.Les explications concernant ce rush sur le Bitcoin diffère selon les analystes, certains l’attribuent à la coïncidence de la crise en Chypre qui a poussé les investisseurs russes et chypriotes à changer leur Euros en Bitcoin pour se garantir du « régime forcé » imposée à Chypre par l'Union Européenne. D’autres pensent que cela est dû tout simplement à une activité spéculative conséquence de l’engouement nouveau pour le Bitcoin en plein développement.
  • A partir de la fin du mois d’avril 2013 le cours de Bitcoin continue d’augmenter pour s’effondrer de nouveau en février 2014. L’une des explications de cet effondrement est sans doute la perte record de Mt. Gox de 744 408 BTC, équivalent à 250 millions d’Euros et conduisant à une fermeture temporaire du site. Au cours de cet effondrement, le Bitcoin est passé d’un cours de 700$ à environ 73$. Le cours du BTC plonge et la plateforme Mt. Gox finit par déclarer faillite le 28 février 2014.
  • Puis le cours de la crypto-monnaie chute le 22 décembre 2017, le marketcap s'affaibli et les volumes de transactions ne sont plus au rendez-vous et cela jusqu'en fin d'année 2017 (et après).
  • Au début de cette année 2018 le cours du BTC varie entre 16500 et 12500$ pour les quinze premiers jours de janvier, puis il chute brutalement sous les 11000$ et reste à ce niveau jusqu’en fin janvier.
  • Jusqu'à Juillet 2018 : Face à différentes mauvaises nouvelles comme le piratage de plusieurs plateformes d'échange le prix du BTC ainsi que ce celui des alt-coins continue de chuter.
  • Fin Juillet 2018, de bonnes nouvelles comme l'annonce de l'autorisation d'un ETF Bitcoin font remonter le cours des cryptos.
Comme nous le voyons ici le cours des crypto-monnaies et du Bitcoin est encore très volatil et le prix d'une crypto-monnaies peut passer du simple au double en quelques mois. Le Bitcoin à deja chuté à de nombreuses reprises tout en se relevant toujours sur des périodes plus ou moins longues. Ces chutes brutales ont également permis à certains acteurs de tirer les leçons de leurs erreurs, c'est le cas principalement des plateformes d'échanges qui se professionnalisent de plus en plus afin de fournir des niveaux de sécurité bancaire pour éviter de nouveaux piratages et sécurisé au maximum les fonds en crypto-monnaies de leurs clients.
L’avenir du Bitcoin
Comme toute monnaie, l’avenir du Bitcoin est incertain car il dépend de plusieurs facteurs (contextes politique, social, culturel) Certains analystes affirment que le Bitcoin a un bel avenir devant lui, qu’il sera tôt ou tard accepté par tous. D’autres ne lui font pas suffisamment confiance pour miser dessus et craignent ses filiations avec les activités illégales et son caractère obscur et sans réelle réglementations efficace. Les pays qui acceptent l’utilisation du Bitcoin et de la crypto-monnaie chez eux envisagent de créer un cadre de réglementation légal et fiscal pour réguler son utilisation.