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samedi 16 novembre 2019

Connaitre le Bitcoin la monnaie future


Le Bitcoin est une monnaie virtuelle appelée aussi crypto-monnaie. Elle est émise jusqu’à 21 millions d’unités dont chaque unité est divisible jusqu’à la huitième décimale. C’est un système de paiement de pair à pair qui fonctionne de manière décentralisé sur Internet. Il est accepté par un nombre croissant de commerçant. Les frais de transactions sont inférieurs à ceux que l’on paie quand on utilise une carte de crédit, ils ne dépendent pas du montant de la transaction et ils sont à la charge de l’acheteur.
Historique
Le Bitcoin n’est pas une nouvelle invention. Le concept de monnaie virtuelle a déjà été imaginé auparavant. En 1999, un inventeur crée la b-monnaie, le premier concept de crypto-monnaie, en 2005 le concept est amélioré avec le Bitgold. Ces premières versions des crypto-monnaies n’avaient pas pu être développées à cause de divers problèmes qui font qu’ils n’ont pas gagné la confiance du public. Ses problèmes résident entre autre au niveau de la sécurité et de l’authenticité ou d’un système trop complexe à utiliser. Le Bitcoin a été conçu par une personne qui se fait appeler Satoshi Nakamoto et qui a réussi à résoudre ces problèmes de confiance à l'aide de la cryptographie.
En réalité, personne ne sait vraiment qui est Satoshi Nakamoto, et au fil du temps, beaucoup de personnes se sont présentées ou ont été présentées comme étant l’inventeur de Bitcoin sans que leur identité ne soit réellement prouvée. L’histoire du Bitcoin commence en 2009, quand son concepteur, après deux ans de travail, publie sur le site P2P foundation les tenants de son travail. Le 3 janvier 2009, le bloc Genesis, le premier bloc du Bitcoin est créé. Dès le mois de février 2009, il publie la première version de son logiciel pour le Bitcoin toujours sur le site de P2P Foundation et avec d’autres développeurs, en s’appuyant sur son propre ordinateur, il commence à faire fonctionner le réseau et crée ainsi les premiers Bitcoins (avec le minage que nous aborderons plus loin).
Il continuera à améliorer le logiciel jusqu’en 2010. A partir de là, Satoshi Nakamoto se fait de plus en plus discret et poste un dernier message désignant Gavin Andersen pour lui succéder. Satoshi Nakamoto lui cède alors l’accès au SourceForge Bitcoin avec une copie de la clef d'alerte cryptographique privée unique qui permet de minimiser les conséquences en cas d’attaque sur le système en réalisant des pull-back. Ensuite, il coupe totalement le contact avec ses collaborateurs et le milieu de la cryptographie et il n’est plus réapparu jusqu’à aujourd’hui.
En 2018 personne n'a encore prouvé être le véritable Satoshi Nakamoto, des rumeurs sur la publication d'un livre sont apparus sur la toile sans que l'auteur ne prouve pour autant son identité.
Principe de fonctionnement du Bitcoin
Le principe de la création du Bitcoin s’appuie sur une critique du système monétaire actuel. Pour faire simple, cette critique affirme que le système monétaire actuel connait des cycles économiques dangereux à cause du développement du crédit bancaire qui incite à s'endetter pour acheter plutôt que d'acheter en fonction de nos moyens. Cela est valable pour les particuliers qui achètent à crédit mais aussi pour les états qui s'endettent pour poursuivre leurs développement
Les taux d’intérêts sur lesquels les entrepreneurs se fient sont faussés, et ainsi les projets dans lesquels ils se lancent sont trop ambitieux et ne correspondent pas aux attentes des consommateurs, ce déséquilibre va conduire vers une récession. De nombreux économistes prônent l'abandon du système bancaire actuel sous forme de dette au profit de la réserve fondé sur l'étalon-or, difficile à manipuler par les autorités.
En créant le Bitcoin, Natoshi Nakamoto a appliqué plusieurs principes fondateurs :
  • Une monnaie anti-inflationniste : Le Bitcoin est limité à 21 millions d'unités et une fois ce seuil atteint, aucune nouvelle pièce ne sera créée.
  • Une monnaie décentralisée qui n'appartient à aucun Gouvernement.
  • Un système de vérification décentralisé dans lequel les vérificateurs sont rémunéré pour vérifier les transactions.
Caractéristiques
Le Bitcoin est une monnaie virtuelle divisible jusqu’à la huitième décimale. Un satoshi équivaut à 0,00000001 BTC. Elle fonctionne sur la technologie du registre distribué Blockchain que l'on pourrait qualifier de base de données mondiale, ouverte et décentralisée. Cette base de données est synchronisée toutes les 10 minutes et l'intégralité de ce dernier est ensuite téléchargée les millions d'ordinateurs au travers le monde pour vérifier le nombre de Bitcoin stockés sur les différentes adresses numériques.
Il est donc très facile de savoir quel est le nombre de Bitcoins stockés sur un portefeuille spécifique mais en revanche on ne sait pas à qui appartient ce fameux portefeuille. Si l'on compare à un compte bancaire classique cela peut paraître étrange mais il s'agit en fait d'un moyen efficace de stocker, vérifier et transférer des crypto-actifs. Bien entendu seul le propriétaire du portefeuille peut effectuer des actions comme l’envoi de Bitcoin vers un autre, ce propriétaire étant identifié comme tel grâce à sa clé privé qui prouve qu'il est bien le propriétaire unique des fonds.
Lorsque l'on veut ensuite envoyer ou recevoir des fonds sur le réseau Bitcoin, il y a les mineurs de crypto-monnaies qui vont rentrer en jeux. Ce réseau fonctionnant sans organisme vérificateur centralisé, ces vérifications sont en  fait réalisées par des centaines d'ordinateurs au travers le monde qui vont rentrer en compétition pour vérifier les transactions et ainsi être rémunérés pour leur travail.
Il vont s'assurer que :
  • C'est bien le propriétaire du portefeuille qui effectue l'envoie.
  • Que le portefeuille dispose bien des fonds qu'il veut envoyer.
  • Que le portefeuille destinataire existe bien.

La Blockchain

 est une sorte de grand registre informatique. La base, un bloc de transaction chiffrée, est appelé un bloc et les blocs s’ajoutent les uns aux autres pour former une chaine d’où le nom « blockchain » suivant un protocole qui rémunère les mineurs qui ont traité des transactions. Ce sont ces transactions qui sont répertoriées puis enregistrées dans la blockchain. Pour cela les agents utilisent leur puissance de calcul afin d’inscrire les transactions dans la blockchain de manière sécurisée.

Nous avons parlé plus haut de problèmes de sécurité, de fiabilité et de confiance liées aux autre crypto-monnaies créées avant le Bitcoin. La blockchain conçue pour cette crypto-monnaie a réussi à résoudre ces problèmes et en ce jour c’est la technologie la plus fiable et la plus aboutie jamais créée. Les transactions sont enregistrées par un horodatage dans un registre distribué.
Ce registre est infalsifiable, il n’appartient à personne, tout le monde peut le voir et il ne peut-être modifié. Un des grands problèmes rencontrés avec les crypto-monnaies était le problème de la crainte de la double dépense appelée dans le milieu le problème des généraux byzantins.
Explications : Lorsqu’une personne envoi un Bitcoin à une autre personne, grâce au consensus proof-of –work (preuve de travail des mineurs) il ne peut plus envoyer ce Bitcoin en parallèle à une autre personne car une fois transmis à une autre personne, la première personne ne possède plus ce Bitcoin.

Fiabilité du réseau : Les généraux byzantins

Le problème des généraux byzantins est une métaphore par laquelle on peut expliquer de façon plus simplifiée la façon dont la blockchain lutte contre les fraudes et les malveillances : Lors de la bataille, les généraux byzantins assiègent une ville ennemie. Pour établir un plan de bataille commun, ils ne peuvent communiquer qu'en passant par des messagers qui eux sont fiables. Cependant, il se peut que certains généraux puissent être des traîtres qui vont donner de fausses informations aux généraux loyaux pour faire échouer le plan de bataille.
Ainsi, il faut trouver un moyen de communiquer de manière à ce que malgré la présence d’éventuels traîtres, les généraux puissent tout de même se mettre d’accord sur un plan de bataille. Il s’avère que les messages oraux partagés d'un individus à un autre sont efficaces seulement si plus des deux tiers des généraux sont loyaux, par contre, des messages écrits, infalsifiables et partagés à l'ensemble des généraux (du réseau) augmente la fiabilité du système d'informations et rendent le système fiable à 100% si plus de 51% du réseau est fiable.
Cette métaphore du problème des généraux Byzantins est ancienne et date même d'avant l'invention d'Internet ! Elle a été expliquée pour la première fois en 1982 : "The Byzantine Generals Problem". A l'époque il s'agit de faire fonctionner plusieurs systèmes entre-eux tout en s'assurant que les informations pourraient continuer d'être correctement traitées en cas de défaillance de l'un de ces systèmes. La blockchain utilise donc ce principe de vérification des données pour offrir un système fiable et parfaitement adapté aux problématiques monétaires.
Ainsi, la blockchain est conçue de manière à être fiable dans le cas où certains composants essaieraient de contourner la vérification des doubles dépenses par de fausses informations ou des données malveillantes. Tout comme les généraux ont donc utilisé des messages écrits, partagés à tous et infalsifiables, la blockchain s’appuie sur un système cryptographique qui se base sur un système décentralisé de preuves. La résolution des preuves se fait grâce aux puissances de calcul informatique des mineurs.

Vérification des transactions : Le Bitcoin Mining

Lors d'une transaction Bitcoin entre 2 personnes il n'y a pas d'organisme centralisé qui valide que la transaction est possible (que la personne qui envoi des BTC possède bien la somme sur son compte). Dans ce réseau décentralisé ce sont des logiciels/machines présent sur toute la planète qui vont vérifier la possibilité des transactions. Ces machines ou logiciels vont recevoir la nouvelle transaction émise par le wallet de l’émetteur et l'analyser pour la vérifier. Ils vont en réalité réaliser un grand nombre de calcul avec la méthode "brute force" pour tenter de trouver la solution à un problème de cryptographie asymétrique (dit RSA). La méthode brute force consiste à tester des combinaisons au hasard pour finalement tomber sur la bonne solution qui reliera la clé privée à la clé publique.
La personne ou la machine qui trouvera en premier la solution et qui validera un bloc de transaction sera récompensé par la création de nouveaux Bitcoins qu'elle recevra sur son portefeuille. Il faut donc tout de même avoir une grande puissance de calcul (le Hashrate) pour être en mesure d'être rémunéré pour son travail ! En anglais on appelle cela "winner take all" que l'on peut traduire en Français par "premier arrivé premier servi". Il est tout de même possible pour un particulier de faire fonctionner un logiciel de mining sur son ordinateur mais il est plus intéressant de se regrouper en pool de mining afin de s'entraider afin de résoudre les solutions plus rapidement et donc de monter en rentabilité.
La plupart du temps il est intéressant de faire fonctionner des logiciels de mining sur des machines qui sont conçues uniquement pour cela afin de réduire sa consommation d'électricité en utilisant que les composants essentiels au minage du Bitcoin car par exemple : l'écran et le disque dur consomment de l'énergie pour rien).
En 2010, après le lancement du Bitcoin, Satoshi Nakamoto a mis en place une limite de 1Mo pour chaque bloc nouvellement créé toutes les dix minutes sur sa blockchain pour empêcher les attaques malveillantes jusqu’à ce qu’on puisse mettre en place une augmentation plus efficace de la taille des blocs suivant une limite et un taux prédéterminé en fonction de l’émission de nouveaux Bitcoin. Cependant cette solution a rapidement montrée ses limites car elle était destinée à une Blockchain dont la limite des transactions serait de 7 par seconde et à l’époque le nombre de transaction n’était que de 2.3 par seconde, ce qui laissait de la marge. D’autre part, il était prévu que le système intégrerait des frais de transaction dans le temps de manière à rendre les attaques plus onéreux et ainsi moins efficaces.
Victime de son succès, le système Bitcoin atteint la saturation en 2016 à cause de la hausse constante des transactions. A cette époque le seul moyen d’intégrer plus rapidement une transaction dans la Blockchain était de payer des frais de transactions plus élevées qui pouvaient atteindre jusqu’à 5$ fin 2016, ce qui a rendu le service moins compétitif en termes de rapidité et de coût par rapport à des services déjà existants comme Western Union ou PayPal.Beaucoup de solutions ont été proposées face au problème.
Certains mineurs ont proposés d’augmenter la taille des blocs, cependant, les développeurs penchaient plutôt pour une solution consistant non pas à augmenter la taille des blocs mais plutôt à compartimenter les signatures (segregated witness ou segwit) numériques des transactions de manière à former des « blocs d'extension ». Cette solution n’ayant suscité que peu d’enthousiasme, et l’absence de solutions satisfaisantes, les gens, dont une grande partie de mineurs, ont voté massivement en faveur du mouvement Bitcoin Unlimited.
C’est lors d’un consensus en 2017 qu’un compromis a été trouvé et il est appelé de segwitx2. La proposition segwit des développeurs a été combinée à une augmentation de la taille des blocs à 2Mo. Le segwit est mis en ouvre le 1 août 2017 et l’augmentation de la taille des blocs est effective à partir de novembre 2017.Cependant, ce compromis n’a pas satisfait tout le monde, et un de ses groupes a augmenté la taille de ses blocs à 8Mo. Ce groupe s’est donc détaché du Bitcoin hard fork pour créer une nouvelle crypto-monnaie, le bitcoin cash. Depuis d’autres crypto-monnaies alternatives à la crypto-monnaie principale (appelée maintenant Bitcoin Core) ont été créées, Bitcoin XT (août 2015), Bitcoin Unlimited (janvier 2016), Bitcoin Classic (février 2016 et ensuite abandonné en novembre 2017), Bitcoin Cash (août 2017) et Bitcoin Gold (octobre 2017), mais seule la version officielle, le Bitcoin Core est soutenue par les développeurs.
Evolution du cours du Bitcoin
Le parcours de la première monnaie virtuelle n’est pas sans embûche et depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, cette dernière à rencontré bons nombres de problèmes, de mises à jour et d'améliorations qui ont impacté positivement ou négativement son cours.
Le Bitcoin est considéré comme le Roi des crypto-monnaies ou même assimilé à de l'or numérique. Lorsque quelques chose se produit sur le marché des crypto-actif cela impacte en premier lieu le BTC et se répand par la suite aux autres cryptos. Par exemple le BTC a subit de lourdes chutes de son cours à cause du Piratage de certaines plateformes d'échanges, cette perte de liquidité a immédiatement impacté le marché des altcoins...
Rien que cette année, l’interdiction de publicité concernant les crypto-monnaies sur Facebook, Google et Twitter, les projets d’une réglementation plus sévère et de taxation fiscale, le rejet exprimé par certains pays des crypto-monnaies, ont fait chuter brusquement le cours du Bitcoin au dessous de la barre des 8000$.Avec le développement du Bitcoin, il s’est aussi développé à côté plusieurs activités illégales liées à l’utilisation du Bitcoin. Pour citer un exemple, une des raisons qui poussent certains pays à se méfier du Bitcoin et des crypto-monnaies en générale, c’est que c’est un moyen de paiement très utilisé dans le secteur des ventes de produits illicites et de financement d’activités illégales voire terroristes.
Un des exemples les plus connu est le Silk Road, un site dédié uniquement à la vente de produit et services illégaux (vente d’arme, stupéfiant, etc.) et qui utilise seulement le Bitcoin comme moyen de paiement profitant de son caractère anonyme et non relié à un système bancaire. Le site a été saisi puis fermé par le FBI en 2013.Et enfin, avec le développement du Bitcoin, plusieurs arnaques concernant les échanges ont été constatés sur internet avec des publicités trompeuses et mensongères.Evolution du Bitcoin depuis sa création.
A noter : Juillet 2018 Facebook, Google et Twitter autorisent dorénavant les publicités pour les crypto-monnaies mais n'ont pas encore levée l'interdiction sur les publicité pour les ICO.
  • A ses débuts en 2009, le cours du Bitcoin était de 0.000764$.
  • En 2011, le Bitcoin connaît une première envolée et son cours passe de 1$ fin 2010 à 30$ en juin 2011. Selon les analystes l’explication de cette envolée est le fait que MasterCard, Visa et Paypal ont bloqué le système de don de la société WikiLeaks et ainsi, cette dernière a créée un nouveau système de don basé sur le Bitcoin.
  • A la fin de l’année 2011 le Bitcoin redescend sous la barre des 2$.
  • A partir de l’année 2012, le Bitcoin commence à être reconnu et utilisé par plusieurs sociétés. Son cours commence ainsi à augmenter régulièrement et atteint un cours de 266€ avant de chuter brutalement dans la journée du 10 avril 2013 pour redescendre en dessous de 50 $.Les explications concernant ce rush sur le Bitcoin diffère selon les analystes, certains l’attribuent à la coïncidence de la crise en Chypre qui a poussé les investisseurs russes et chypriotes à changer leur Euros en Bitcoin pour se garantir du « régime forcé » imposée à Chypre par l'Union Européenne. D’autres pensent que cela est dû tout simplement à une activité spéculative conséquence de l’engouement nouveau pour le Bitcoin en plein développement.
  • A partir de la fin du mois d’avril 2013 le cours de Bitcoin continue d’augmenter pour s’effondrer de nouveau en février 2014. L’une des explications de cet effondrement est sans doute la perte record de Mt. Gox de 744 408 BTC, équivalent à 250 millions d’Euros et conduisant à une fermeture temporaire du site. Au cours de cet effondrement, le Bitcoin est passé d’un cours de 700$ à environ 73$. Le cours du BTC plonge et la plateforme Mt. Gox finit par déclarer faillite le 28 février 2014.
  • Puis le cours de la crypto-monnaie chute le 22 décembre 2017, le marketcap s'affaibli et les volumes de transactions ne sont plus au rendez-vous et cela jusqu'en fin d'année 2017 (et après).
  • Au début de cette année 2018 le cours du BTC varie entre 16500 et 12500$ pour les quinze premiers jours de janvier, puis il chute brutalement sous les 11000$ et reste à ce niveau jusqu’en fin janvier.
  • Jusqu'à Juillet 2018 : Face à différentes mauvaises nouvelles comme le piratage de plusieurs plateformes d'échange le prix du BTC ainsi que ce celui des alt-coins continue de chuter.
  • Fin Juillet 2018, de bonnes nouvelles comme l'annonce de l'autorisation d'un ETF Bitcoin font remonter le cours des cryptos.
Comme nous le voyons ici le cours des crypto-monnaies et du Bitcoin est encore très volatil et le prix d'une crypto-monnaies peut passer du simple au double en quelques mois. Le Bitcoin à deja chuté à de nombreuses reprises tout en se relevant toujours sur des périodes plus ou moins longues. Ces chutes brutales ont également permis à certains acteurs de tirer les leçons de leurs erreurs, c'est le cas principalement des plateformes d'échanges qui se professionnalisent de plus en plus afin de fournir des niveaux de sécurité bancaire pour éviter de nouveaux piratages et sécurisé au maximum les fonds en crypto-monnaies de leurs clients.
L’avenir du Bitcoin
Comme toute monnaie, l’avenir du Bitcoin est incertain car il dépend de plusieurs facteurs (contextes politique, social, culturel) Certains analystes affirment que le Bitcoin a un bel avenir devant lui, qu’il sera tôt ou tard accepté par tous. D’autres ne lui font pas suffisamment confiance pour miser dessus et craignent ses filiations avec les activités illégales et son caractère obscur et sans réelle réglementations efficace. Les pays qui acceptent l’utilisation du Bitcoin et de la crypto-monnaie chez eux envisagent de créer un cadre de réglementation légal et fiscal pour réguler son utilisation.





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